Dans le sac de... Cam Linh

Aujourd’hui, c’est au tour de Cam Linh de partager avec nous les secrets que renferme son sac.


Hello Cam Linh ! Alors Racontes-nous, qu’est ce qu’il y a dans ton sac ?

Quelques basiques utilitaires :
- Mes clefs,
- Un porte-monnaie contenant également mon pass Navigo, ma CNI
- Une pochette rapportée du Mexique qui fait office de porte-cartes. C’est également un refuge pour mes pellicules déjà exposées.
- Mon iPhone 4 en fin de vie qui me dépanne pour quelques photos pratiques.
- Un LCA+ Russian édition, un très beau cadeau de départ de collègues. Il est accompagné de son étui
- Une sardina en mode survie, un mix entre deux éditions : mi-DIY mi-eightball. Elle est complètement défectueuse. Pas de possibilité de rembobiner. J’ai aussi recours au flash qui aide l’ensemble des éléments du corps à rester fermé.
- Une pince à épiler m’aide à rembobiner les pellicules quand je trouve un changing-bag ou l’obscurité suffisante.
- Des piles de secours pour le flash… aussi en phase terminale.
- Des pellicules 35mm (les redscales et les Agfa ct-précisa occupent une place de choix) Vivement ma prochaine escapade en Allemagne.
- Un bouquin pour occuper mes trajets de transport et pour rêvasser.
- Des coupons qui traînent et destinés à récupérer mes derniers tirages (chez Kodak Nation).
- Des blocs-notes avec un stylo et parfois de la couleur, pour divaguer.

Festival Circulations au 104 — Photo prise par David Hornillos tirée de Mediodia

Il est chouette ce sac d’ailleurs, il vient d’où ?

Il provient de Manchester. Cette ville industrielle aux briques rouges ne se résume pas à sa célèbre équipe de foot. On y trouve des quartiers vivants et une scène musicale très dynamique : rock punk, soul, house, drum & bases, techno..une grande diversité de choix.
Ce sac a été déniché chez un disquaire réputé : Eastern Bloc Records qui a fêté son trentième anniversaire l’an dernier.

Tu embarques avec toi La Sardina et le Lomo LC-A, pourquoi ces deux appareils ?

Je suis en pleine transition entre ces deux appareils. J’ai des difficultés à me défaire de ma Sardina qui a bien vécu et que j’adore, même si sa lentille est plus cheap que celle du LC-A+. En général, quand je me balade avec ces deux appareils, chacun est chargé avec une pellicule de type différent de l’autre appareil. Cela m’invite à une approche différente des sujets ou d’utiliser l’appareil le plus approprié selon la circonstance ou la luminosité. De plus, lors de mes week-ends ou en voyage, c’est souvent un des deux appareils qui accompagne soit mon sprocket rocket ou mon Diana F+ Zebra.

Un objet fétiche dont tu ne te sépares jamais ?

En voyage, j’ai toujours un mini-ganesh rapporté du Nepal avec moi avec des photos pola de mes proches. Mais à Paris rien à voir…. je ne me sépare jamais de ma carte UGC.


Pour découvrir le travail de Cam Linh, rendez-vous sur sa page Facebook et sur sa Lomohome

2016-05-19 #Gens

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